Ton aurevoir
est devenu un adieu
Et tout mon espoir,
c’est enfuit de mes yeux
de te revoir
là chez moi,et comme avant
pourquoi un jour,
toi tu a dû me quitter
apres tant d’années,
qu’on s’est vu et aimer
pourquoi a tu succombé toi mon enfant
Non non Juan dis moi que j’ai tort
Mon mon Juan de croire à ta mort
toi mon enfant mon p’tit enfant
et aussi grand que tu sois
Non Non Juan que dieu il a permit
Mon mon Juan que le ciel soit punit
Par ton printemps tes yeux charmant
qui sont maintnant aussi froids
J’entends des voix
dissant,des mots de regrets
En voyant ta croix,
toute noire qui se dressait
mais tout cela ça ne vaut pas,
le bon vieux temps
et dans mon cœur,
je sens mon sang
et il meurt
devant tant de fleurs,
partagant mes douleurs
et pour l’enfant qui démeure,
dans son printemps