J’allumerai un feu et je ‘m assiérai devant, par terre, pour regarder les flammes et entendre le bois qui brûle.
Je sentirai le vide que tu aura laisé, tes doigts qui, comme des pinceaux, me paindrent affectueusement, tes lèvres qui goûtent ma peau salée.
Dans les flammes je voyerai le étinceler de tes yeux qui me regardent tendrement, et dans la bruit de la bois qui brûle, j’ entenderai l’ élever de ta voix.
Je fermerai mes yeux et des larmes glisseraient de ma visage, à la terre où je suis assise.
J’ attenderai ta bouche, tes doigts, je t’ attenderai mais tu ne jamais reviendrai, la morte t’ as entraîner avec soi dans son monde, mais pourquoi ?
Je ferme mes yeux, lâche le volant. Après un coup, ma cœur est invivable, chez la tienne…
Pour toujours